Merci à vous

Merci à vous lecteurs de Glastotrip 2014, la fréquentation de ce blog reste modeste, mais hier elle a battu son record (y compris d’ailleurs par rapport aux ancètres Glastotrip 2011 et 2013). Une centaine de pages ont été lues hier, ce qui a fait passer au site une barre psychologique. Je profite donc de l’occasion pour manifester le plaisir que j’ai à voir que de plus en plus de monde s’intéresse au festival de Glastonbury. Je n’ai pas grand chose à gagner à écrire ce blog, si ce n’est pour moi même, d’y inclure aussi une forme de journal qui me permet de garder un souvenir de mes passages à Pilton, tout en espérant que mes expériences puissent servir à quelques uns. Mais surtout, je veux faire comprendre à bien des gens que Glasto n’est pas un festival comme les autres. Et ça, croyez moi c’est difficile, même avec mon entourage proche à qui je montre des photos ou des vidéos, et surtout à qui je décris la chose. Tous font en général référence à d’autres festivals qu’ils connaissent, et donc n’arrivent pas à intégrer le truc.

La meilleure façon d’expliquer la chose, c’est une anecdote qui s’est déroulée en 2013 avec Fred, qui venait pour la première fois. Avec Hub, on l’avait briefé, et on lui avait expliqué qu’il devrait s’acheter un fauteuil pliant. Il avait poliment répondu oui, mais il était clair qu’il n’en pensait rien. Il nous prenait certainement pour deux beauf, et en ce qui me concerne pour un vieux qui plus est. L’idée de prendre un pliant dans un festival lui paraissait à mon avis complètement ridicule. Le mercredi, après avoir planté la tente, nous avons fait le tour du site, puis enchaîné sur deux ou trois animations, pour finir la soirée dans la zone Sud-Est, dont nous étions revenus peu après minuit. Le lendemain matin, après le petit déjeuner nous nous sommes séparés. Quand j’ai finalement retrouvé Hub et Fred en début d’après midi, ce dernier avait acheté son fauteuil quelque part. Je ne dirais pas que l’achat en question n’est pas indispensable, j’avais fait sans en 2011, en tous cas jusqu’au samedi soir où j’avais récupéré un fauteuil abandonné, mais il n’est pas incongru.

Plein d’autres choses sont ainsi concernant Glastonbury, et c’est cela que j’essaye de faire passer dans ces textes, au risque de susciter davantage de candidatures à la prévente et de me rendre l’accès au tickets un peu plus difficile. C’est dire mon désintéressement dans l’affaire… En conclusion: vive le festival de Glastonbury!