Putain de météo!

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Une météo catastrophique peu avant l’ouverture, et des pluies peu génantes mais régulières pendant le festival, auront fait de Glastonbury 2016, l’année de la boue.

On l’aura regardée cette putain de météo! Avant de partir, le lundi à Stonehenge, le mardi après midi encore à Glastonbury (la ville), ça disait qu’il ne pleuvrait pas dans la nuit de mardi à mercredi. Finalement, des pluies fortes à la veille du festival ont saturé le terrain d’eau, puis il a bel et bien plu pendant la nuit du mardi au mercredi, de cette pluie fine et sournoise qui a tout trempé et rendu l’attente dans la queue interminable. Une pluie qui a eu le bon gout de ne s’arrêter qu’une fois la tente montée! Et si cette foutue pluie nous a laissés assez tranquille pour assister aux concerts, elle s’est invité régulièrement pour détremper à chaque fois le sol dès qu’il avait la velléité de sécher un peu. Finalement nous avons passé l’intégralité à peu près au sec, mais les pieds dans nos bottes, plantés dans la boue pendant six jours, sans compter que ce cataclysme boueux régnait aussi sur les parkings.

2016 restera dans les mémoires comme l’année de la boue, n’en doutons pas! Cela aurait pu être plus prosaïquement l’année du Brexit, mais ça, nous voudrons l’oublier, et nous retiendrons la boue, la boue, la boue… Pour autant, a-t-elle gâché la fête? Non, bien au contraire, en ce qui me concerne 2016 restera comme l’une de mes meilleures éditions. Sans doute étais-je arrivé sans idée préconçue, si ce n’est que je ne portais aucun intérêt aux trois têtes d’affiches, et je suis reparti avec quantité d’excellents souvenirs de nombreux concerts qui m’ont dans leur plus grande majorité surpris et ravis. Je détaillerai cela dans les jours à venir, dans le compte rendu que j’effectue chaque année, mon histoire personnelle du festival de Glastonbury 2016, le point de vue d’une 130 000eme part du public.
Photo: Asyd