J’ai récemment ajouté des vidéos illustrant diverses zones du festival de Glastonbury. Ces vidéos ont été ajoutées comme illustration dans les pages de lieux qui les concernent:
Mais surtout, j’ai ajouté le documentaire Glastonbury After Hours, réalisé en 2012 par Julien Temple comme illustration de la Zone Sud-Est. Julien Temple a pris l’habitude depuis deux jachères désormais (celles de 2006 et de 2012) de produire pour la BBC un documentaire sur le festival. Le docu de 2006, simplement intitulé Glastonbury, qui retrace l’histoire du festival, est indéniablement à voir. En voici la bande annonce:
Autre documentaire très intéressant sur le festival, c’est le Glastonbury The Movie, de Robin Mahoney, qui retrace l’édition 1993 du festival dans une vision très proche de ce que le spectateur pouvait en avoir. Ce film a été réédité en 2012 dans une version plus longue et proposant des inédits qui avaient été originellement coupés au montage. Cette deuxième version s’intitule Glastonbury The Movie in Flashback.
Pour l’anecdote, j’ai pour la première fois entendu parler du festival de Glastonbury en 1989 à l’époque où les Travellers éconduits de Stonehenge trouvaient refuge à Glasto. Je me souviens en particulier d’une interview de Daevid Allen de Gong, un groupe que j’écoutais à l’époque, évoquant le défunt free festival de Stonehenge, et le repli vers Glastonbury. A cette époque c’était un petit festival dont il faisait la promotion. Ce nom « Glastonbury » me parlait car en 1986 nous y étions allés avec des potes. Nous avions visité le Tor et l’Abbaye, et j’avais été frappé par l’ambiance New-Age de la ville. Sur le moment j’ai bien eu envie d’y aller, mais le temps a passé et j’ai oublié. Mais ce n’est qu’en 1996, donc près de 10 ans plus tard, que je découvrais les images de ce documentaire. C’est là que j’ai compris qu’il me fallait aller à Glasto, et que l’idée ne m’a plus quitté. Les circonstances ont voulu que j’attende encore 15 ans pour le faire, par manque d’opportunité, d’information, de temps… C’est clair que j’aurais dû le faire plus tôt. C’est la vie!