Enfin, la période des vacances…. Ce sera l’occasion pour moi de rédiger la review de cette édition longtemps attendue de Glastonbury 2022.
Une édition que nous avons attendu longtemps, après deux ans de jachère COVID. La frustration d’avoir été privés du 50eme anniversaire du festival. Mais surtout une édition qui semble avoir définitivement marqué un changement d’époque, le passage de témoin de Michael à Emily Eavis. De l’avis général, Glasto a changé d’époque, on l’a senti en particulier dans le lineup. Ce que l’on sentait depuis plus d’une décennie est enfin advenu, c’est désormais Emily la patronne.
Michael Eavis, 86 ans, s’est fait très rare dans les allées du festival. Il est en particulier apparu sur scène avec son groupe sur Williams Green. Mais en revanche, il n’a pas assuré sa séance de questions / réponses du dimanche au Speakers Forum. Par ailleurs, c’est Emily qui a assuré toute la communication avant le festival. On pourrait être tenté de se lancer dans un c’était mieux avant, mais je pense surtout qu’il vaut mieux éviter ce type d’attitude « vieux con ». Comme à chaque édition il y a eu du bon et du moins bon, et Glasto garde toute sa magie. Cinq jours ont été un temps trop court pour profiter du festival autant que je l’aurais souhaité.
Changement d’époque au festival, changement d’époque pour Glastotrip. Je me propose, les jours à venir, de rédiger un article tous les deux jours pour vous partager mes sentiments sur la dernière édition en date. Non pas par ordre chronologique, comme je l’ai fait les années précédentes. Mais plutôt de façon plus libre au gré de mes envies. Peut-être serai-je moins exhaustif, mais sans doute plus concis, ce qui n’est pas ma qualité naturelle.
A suivre…
